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Des ombres :

Très vite nous avons fait un parallèle entre notre nouvelle création et Le Mariage des oiseaux. Un conte géorgien que nous avons mis en scène avec, entre autres, de l’ombre.

Nous avons commencé par travailler avec un petit théâtre d’ombres. Nous découpions des silhouettes dans du carton. Nous les placions derrière un petit écran, éclairé par une lampe de poche. C’est un principe que nous avons beaucoup utilisé au tout début de la création.

Les répétitions ont avancé. Des choses ont mûri. La scénographie a avancé.

Dans le fond de scène, un grand écran. Nous projetons des images colorées dessus au moyen d’un vidéo projecteur. Les personnages apparaissent devant l’écran, à contre-jour. Ce sont des ombres vivantes.

 

 

 

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